mentions légales

PHILIPPE PLISSON INTERVIENT A BRUXELLES POUR DEFENDRE LA VITICULTURE A PROPOS DE LA LIBERALISATION DES DROITS DE PLANTATION

Une délégation d'élus du Sud Ouest composée de Martine Faure, Pascale Got, Catherine Quéré et Philippe Plisson a participé à la manifestation organisée par l'intergroupe de l'EPP, contre la libéralisation des droits de plantation viticoles.

Il s'agit de réparer une énorme bévue du conseil des ministres européens dont les membres, y compris Michel Barnier, ministre français de l'agriculture de l'époque, ont voté en 2007 le principe de la libéralisation des droits de plantation qu'ils estimaient être un frein au développement des exploitations.

Place à la liberté de planter dès 2016 n'importe quoi, n'importe comment, n'importe où ! Funeste erreur !

Face à cette lourde menace de déstabilisation de la filière, des représentants de nombreux pays viticoles, élus et professionnels, se sont retrouvés lundi 19 mars a 19h dans l'enceinte du parlement européens : la salle prévue s'est révélée trop petite pour accueillir tous les participants. En effet, pour obtenir une majorité qualifiée au sein du conseil de l'Europe qui permette de revenir sur cette disposition, il faut 15 états membres représentants 255 voix. La Finlande a rejoint le groupe pendant la réunion mais il manque encore à ce jour 29 voix et il faudra donc recueillir le soutien d'autres états.

Lors de la réunion de Bruxelles, des ministres, des élus, et des professionnels des pays signataires ont successivement pris la parole pour demander le maintien des droits de  plantation, à l'exception des réserves exprimées par l'Angleterre et le représentant des  négociants… La parole a ensuite été donnée à la salle et au nom de la délégation, Philippe Plisson a rappelé les efforts considérables réalisés par les viticulteurs depuis des années en faveur de la qualité : "nous ne pouvons imaginer que soit jeté à bas des années de travail et qu'on ruine une région, des terroirs, des territoires dont le vin est à la base de l'économie et symbolise un art de vivre !" a t-il conclu.

Mme Lulling et M. Dantin qui animaient la réunion ont fixé le calendrier :

  • Organisation de trois réunions du groupe viticole.
  • Prise de décision de la commission en novembre 2012 pour inclure la suppression de la libéralisation dans le vote de la PAC en 2013.

Faute de quoi, comme l'a dit Jose Bové, c'est dans la rue que les viticulteurs et les élus iront défendre la survie de leurs exploitations familiales.


PHILIPPE PLISSON INTERVIENT A L'ASSEMBLEE NATIONALE DANS LE DEBAT SUR LES CONCLUSIONS DE LA MISSION D'INFORMATION RELATIVE A LA TEMPETE XYNTHIA

Philippe Plisson : "...Nombre de nos concitoyens en zone sensible vivent aujourd’hui dans l’angoisse parce qu’ils n’ont aucune réponse et ne voient aucune perspective concernant un problème qui les dépasse et les menace qu’ils s’appellent en Gironde les oubliés du blayais ou en Vendée l’association des victimes de l’inondation de la Faute sur mer..."

lire l'intervention


PHILIPPE PLISSON INTERROGE LA MINISTRE DE L'ECOLOGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT A PROPOS DU CHANGEMENT DE PERIMETRE DE SON MINISTERE

Philippe Plisson : "...Plus grave encore, en dépouillant votre ministère de la branche essentielle qu’est la politique de l’énergie pour la faire rentrer dans le giron de l’économie, ce remaniement confirme à l’évidence que l’écologie dans deux de ses dimensions essentielles est devenue une préoccupation secondaire de ce gouvernement..."

accéder au dossier


LE PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE DECIDE BRUTALEMENT LA FIN DES DEBATS SUR LA REFORME DES RETRAITES

Le nouveau règlement de l’Assemblée nationale prévoit que chaque député a la possibilité de donner une explication de vote.

Dans ce cadre, le groupe SRC avait accordé 5 minutes à Philippe Plisson. Le président de l’Assemblée nationale a brutalement et unilatéralement décidé la fin des débats, privant les députés concernés de leur légitime expression sur un vote historique qui engage l’avenir de millions de français.

Le groupe SRC déposera une requête auprès du conseil constitutionnel pour dénoncer cette forfaiture de l’Etat UMP qui non seulement fait le choix d’aliéner une partie de la vie des français le plus défavorisés, mais prive de parole ceux qui se battent pour les défendre.

"Nous sommes à l’épilogue d’un moment politique qui s’inscrira dans l’histoire : celui du vote d’une incroyable régression sociale que vous avez voulue, l’allongement à 62 ans pour le départ à la retraite. Si on doit s’indigner que la grande majorité des français fasse aussi les frais d’une posture idéologique, ce moment a au moins un avantage : celui de mettre en pleine lumière la différence entre la droite et la gauche. Si Jacques Chirac a souvent essayé de jeter le trouble avec par exemple sa fracture sociale, votre majorité UMP assume pleinement ses valeurs de droite. Après les 600 millions redistribués chaque année aux plus riches grâce au bouclier fiscal, c’est aujourd’hui le choix de pénaliser les français qui ont travaillé tôt et effectué des carrières précaires et incomplètes et donc bien de sanctionner les plus humbles et les plus fragiles. Les postures de Saint Just de Monsieur Woerth, la main sur le cœur, ne sont crédible ni sur le fond ni sur la forme. Votre réforme est politique, idéologique, régressive, elle s’attaque délibérément aux plus faibles au bénéfice de ceux que vous défendez, que vous représentez, que vous soutenez : le camp des plus riches et le clan du Fouquet’s. Alors oui, les choses sont claires aujourd’hui. La gauche et la droite ce n’est pas pareil. Quand la gauche reviendra au pouvoir elle supprimera le bouclier fiscal et elle reviendra sur les dispositions iniques que vous vous obstinez à voter aujourd’hui. OUI nous rétablirons la retraite à 60 ans, et tous ceux qui ont commencé à travailler très jeune pourront légitimement bénéficier d’un repos mérité. OUI nous permettrons à tous ceux qui n’ont pas eu une carrière linéaire, les plus fragiles, les femmes, les précaires de bénéficier d’une retraite à taux plein dès l’âge de 65 ans. OUI nous rétablirons l’équilibre financier des retraites avec une hausse équilibrée des cotisations mais surtout un prélèvement sur les revenus du capital que vous vous obstinez à préserver coûte que coûte. Ce choix de classe que vous faites aujourd’hui a au moins un mérite : celui de mettre en lumière ce qu’est au fond la politique de Nicolas Sarkozy, la plus droitière, la plus réactionnaire mise en œuvre depuis un demi siècle, à telle enseigne qu’elle suscite l’indignation et la réprobation de l’Europe entière. Les français l’ont compris et peuvent ainsi choisir leur camp en toute connaissance de cause, non plus sur la mine de tel ou tel candidat, mais sur le fond, projet contre projet, valeur contre valeur. Nous leur proposerons le moment venu le camp des lumières, celui de la justice et du progrès. Aujourd’hui, ce vote est un marqueur décisif et l’histoire retiendra le nom de ceux qui s’inscriront du côté de la régression sociale. Il est encore temps pour vous, chers collègues, de faire le geste qui sauve pour échapper à l’opprobre."


RENCONTRES D'ETE DU POLE ECOLOGIQUE DU PS les 26 et 27 août à St Ciers sur Gironde - Revue de Presse

Haute-Gironde-13 août : "St Ciers, étape clé avant La Rochelle"

Sud-Ouest-26 août : "Pour 2012 le Parti socialiste passe au vert"

Le Parisien-26 août : "Le Pôle écologique du PS réclame que la "sociale-écologie" soit au coeur du projet socialiste en 2012"

Sud-Ouest-27 août : "Le PS face à sa mue"

Haute-Gironde-27 août : "2012 passe par St Ciers"

Le Point-27 août : "Le PS a encore un "long chemin" à parcourir pour se convertir à l'écologie, selon Mamère"

Sud-Ouest-28 août : "Le PS sur le "long chemin" de l'écologie"


PHILIPPE PLISSON INTERROGE LE MINISTRE DU TRAVAIL A PROPOS DE LA REFORME DES RETRAITES

Philippe Plisson : "La réforme des retraites que vous proposez est marquée du sceau de votre politique, profondément injuste !"

accéder au dossier


PHILIPPE PLISSON INTERROGE LA MINISTRE DE L'ECONOMIE SUR LE MAINTIENT DES RESSOURCES LIEES AU FDPTP POUR LES COLLECTIVITES LOCALES APRES REFORME DE LA TAXE PROFESSIONNELLE

Philippe Plisson : "Enfin de bonnes nouvelles pour les collectivités de Gironde."

La ministre, représentée par le secrétaire d'Etat à la défense et aux anciens combattants, s'est engagée à maintenir cette ressources pour les communes et communautés de communes.

accéder au dossier


PHILIPPE PLISSON RESPONSABLE DE L'ARTICLE 34 DU PROJET DE LOI PORTANT ENGAGEMENT NATIONAL POUR L'ENVIRONNEMENT POUR LE GROUPE SOCIALISTE INTERPELLE LE MINISTRE BORLOO DANS LA NUIT DU 6 AU 7 MAI EN SEANCE PLENIERE A L'ASSEMBLEE NATIONALE

Monsieur le Ministre,

Monsieur le Ministre, ce soir, le débat qui s’ouvre, et je le dis avec solennité, est pour nous un marqueur déterminant de la sincérité de votre engagement en faveur du Grenelle II.

Nous avons voté le Grenelle I car, avec les associations, nous avons cru à votre volonté de créer une dynamique positive en faveur de la planète.

Depuis, il y a eu l’abandon de la taxe carbone, la formule qui tue du président « L’environnement, ça commence à bien faire », le report de la mise en œuvre de la taxe camion, et demain peut être la confirmation de la non opposabilité de la trame verte et bleue et le recul sur la discrimination de 50% des pesticides d’ici 2013.

Mais le pire, c’est le sort que vous semblez vouloir laisser réserver aux éoliennes. Les ZDE, l’enquête publique, le permis de construire sont déjà un parcours du combattant de 7 à 8 ans pour voir tourner la première pale à partir de la prise de décision de réaliser un parc.

Le texte que vous nous proposez ; si vous le laissez voter en l’état, rajoute une somme de carcans supplémentaires qui supprimera 70% des projets potentiels : les schémas régionaux opposables rédigés par le préfet, les unités de production de 5 mats à défaut des 15 MWh pour lesquels vous avez heureusement reculé, la distance de 500m des zones urbanisables et non urbanisées et cerise sur le gâteau le classement Installation Classée pour la Protection de l’Environnement comme les usines chimiques SEVESO.

N’en jetez plus, la coupe est pleine !

Monsieur le Ministre, vous nous avez fait voter dans le Grenelle I, l’objectif ambitieux de 23% d’énergies renouvelables et vous laissez aujourd’hui mettre en place ces réglementations draconiennes qui empêcheront à coup sur sa réalisation.

Ce recul est une aberration environnementale, car il y a toujours la même urgence à se tenir à ces engagements que nous avons pris ensemble pour répondre au dérèglement climatique.

Mais c’est aussi une catastrophe économique car c’est une filière qui peut demain créer 60.000 emplois que vous flinguez aussi en plein vol.

A Blanquefort, en Gironde, le cluster énergie renouvelable que Vincent Feltesse, le président de la CUB, avait mis sur les rails pour reconvertir la friche industrielle de Ford, avec une usine de pales d’éoliennes, la construction de mats et l’assemblage de panneaux voltaïques est mort né, de la bouche même des promoteurs, si ces dispositions sont votées.

Alors, Monsieur le Ministre, pourquoi tant de haine ? Il est encore temps de revenir  la raison et de faire rentrer dans le rang les talibans anti-éoliens. Vous pourrez alors espérer retrouver l’élan et l’enthousiasme de la belle aventure du Grenelle à laquelle nous aimerions tellement continuer de croire avec vous.


PHILIPPE PLISSON INTERPELLE LE GOUVERNEMENT A PROPOS DE LA SITUATION DES CHOMEURS EN FIN DE DROITS

Lors de la séance des questions d'actualité à l'Assemblée nationale le mercredi 17 février 2010, Philippe Plisson a interpellé le premier ministre sur la situation des chômeurs en fin de droits qui seront selon Pôle Emploi 1 million cette année.

voir son intervention


voir les archives 2007-2009